Six ans après sa dernière participation à la Champions Cup, le Stade français a pris la direction de l’Irlande, pour affronter la province du Connacht. Comme le dit notre Président Titi, « il y a toujours 80 minutes compliquées au milieu du week-end ».
Ce tirage au sort a été l’occasion de remettre le pied sur la verte Erin et de découvrir le Connemara, que les français connaissent surtout au travers d’une célèbre chanson.
Nous partîmes à 18 Titis de Paris direction la capitale Irlandaise, Dublin, après moultes formalités administratives et un atterrissage tout en freinage…
Une fois les retrouvailles avec la gastronomie irlandaise réalisées en bonne et due forme, commença la visite de Dublin by night et en particulier le quartier de Temple Bar, bien connu des amateurs de boissons houblonnées et maltées (ou non) avec modération bien évidemment.
Le samedi, après deux heures de route pour rejoindre Galway et quelques péripéties (les habitudes ont la vie dure comme le fait de continuer à vouloir régler le péage par la gauche), le Connemara nous ouvrait ses bras. Les routes de la province nous ont fait découvrir de superbes paysages sauvages malgré le vent et les caprices du macadam local. Nul leprechaun mais un délicieux déjeuner à Carna, dans un restaurant irlandais typique, avant de prendre la direction de Galway et son marché de Noël (nos Titis gastronomes vous recommandent tout particulièrement les saucisses et le glacier Murphy’s) avec le fameux adage « ce qui se passe à Galway, reste à Galway » !!!
C’est après une matinée dominicale pluvieuse et un copieux déjeuner que nous avons pris la direction du Galway Greyhound Stadium pour retrouver nos soldats roses avec le résultat que l’on connaît malheureusement. Cela n’a pas entamé la bonne humeur pour enchaîner une dernière soirée en musique dans les pubs de Galway avant le retour sur Dublin puis Paris, non sans quelques frayeurs sur l’ultime trajet jusqu’à l’aéroport dans le trafic routier de la capitale.
C’est la tête pleine de rythmes irlandais, de paroles « Sardouesques » (« Terre brûlée au vent des landes de pierres »…), de beans, de fous rires, d’histoires de notre ami Claude l’aveyronnais que nous avons rejoint l’hexagone avant de nouvelles aventures toujours derrière notre Stade.
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